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Centre d'histoire des sociétés, des sciences et des conflits

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Publications des membres du CHSSC

2023

L’appel de la guerre. Des adolescents au combat, 1914-1918. (édition poche)
Manon Pignot
Prix Augustin Thierry des Rendez-vous de l’histoire de Blois et Prix Pierre Lafue (2019)

Christian Sarton du Jonchay, Ernest Wrentmore, Marina Yurlova, Rudolf Höss, Jack Cornwell… Ces jeunes Français, Américain, Russe, Allemand ou Anglais sont nés entre 1899 et 1904 ; ce sont des combattants juvéniles, dont l’historienne Manon Pignot est allée chercher la trace dans les archives d’Europe et d’Amérique du Nord. Bien souvent camouflés, du fait du caractère illicite de leur engagement au sein des armées régulières, trouver ces « ado-combattants » relève du jeu de piste, tant les sources sont parcellaires, dissimulées. L’auteure interroge les raisons comme les modalités de l’engagement de ces adolescents, les obstacles aussi qu’ils ont dû surmonter et la manière, s’ils ont survécu, dont cette expérience de guerre les a marqués. Patriotisme, transgression et filiation, désir d’aventure et désir de guerre… C’est une histoire délicate à écrire, tant elle touche à nos conceptions contemporaines de l’enfance et de l’adolescence. Avec ce travail pionnier, Manon Pignot s’attaque à un angle mort de l’historiographie contemporaine.


Thomas W. Salmon, Médecin des « sans voix » et des soldats
Sophie Delaporte

Thomas Salmon fut un médecin visionnaire, précurseur de l’idée de trouble post-traumatique et de la prise en charge des névroses de guerre et du stress. Médecin généraliste affecté à Ellis Island, il s’est trouvé confronté à la vague d’immigration déferlant sur New York au début du XXe siècle. Il a cherché à améliorer le sort des « fous » et des « faibles d’esprit », puis celui des combattants traumatisés psychiquement par la Première Guerre mondiale. Il est une figure majeure de la transformation de la psychiatrie américaine.
 

Enfants en guerre. « Sans famille » dans les conflits du XXe siècle
Laura Hobson Faure, Manon Pignot, Antoine Rivière (dir.)

Tout au long du XXe siècle, les enfants ont été victimes des guerres et des génocides. Perdus lors d’une évacuation ou de déplacements forcés, restés seuls après la mort de leurs parents, arrachés à leurs proches dans le processus génocidaire, beaucoup ont vécu la séparation, brutale et souvent définitive, d’avec leur famille. Les millions d’orphelins de la Grande Guerre, puis l’innombrable cohorte d’enfants abandonnés, déplacés et réfugiés, errant dans l’Europe de la Seconde Guerre mondiale, ont tour à tour conduit, non sans controverses et difficultés, à l’invention de nouvelles formes de prise en charge associative, étatique ou internationale. À travers cette figure du « sans famille », ce livre propose une exploration des conflits à hauteur d’enfant. « Sans famille » ne signifie pas nécessairement « sans personne », et les auteurs et autrices étudient également le rôle des fratries, des parents de substitution, des services sociaux ou des groupes de pairs, qui, à des degrés divers, peuvent prétendre recréer un foyer. Ils interrogent plus largement ces expériences enfantines, depuis le temps de la séparation jusqu’aux traces, parfois traumatiques, laissées par ces événements.
 

Faire écran. Les réécritures de la Seconde Guerre mondiale dans les séries télévisées au temps de la guerre froide.
Marjolaine Boutet

Les séries télévisées des années 1960 à 1980 font partie de la « culture de guerre froide » et témoignent des évolutions de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale dans cette période-clé. Comment ont-elles participé à la reconstruction des sociétés occidentales, et notamment à la construction européenne ? Qu'est-ce que le choc provoqué par la diffusion de la saga hollywoodienne Holocaust révèle de la mémoire de la Shoah, mais aussi des phénomènes d'américanisation et de résistance à l’américanisation à la fin des années 70 et dans les années 1980 ? Marjolaine Boutet nous propose ici une histoire transnationale de 13 séries télévisées états-uniennes, britanniques, françaises et allemande diffusées pendant la guerre froide, à destination d’un public toujours plus nombreux et en voie de globalisation.

2022


Une famille roubaisienne sous l’occupation de 1914 à 1918. Journal de Marie Masquelier

Philippe Nivet (dir.)

 

Marie Masquelier (1895-1975), nièce de Mgr Henri Masquelier (1856-1936), fondateur de La Croix du Nord, vit pendant la Première Guerre mondiale à Lys-lez-Lannoy (Nord), une commune limitrophe de Roubaix, mi-rurale, mi-industrielle : des industries textiles y sont implantées. Le territoire est occupé par les Allemands jusqu’en octobre 1918. Marie Masquelier tient son journal de l’été 1914 à février 1919. Ce document, introduit et annoté par Philippe Nivet, professeur à l’Université de Picardie, est intégralement publié dans ce volume.

Le journal de Marie Masquelier est une source très riche pour l’histoire de l’occupation allemande. Il montre comment les Allemands se sont installés dans le Nord et dominent le territoire. Il évoque le vécu des habitants et leurs réactions face à l’occupant. Marie Masquelier fait un portrait nuancé des officiers allemands qu’elle doit loger ; elle observe le comportement et les réactions des militaires bavarois et prussiens. Enfin, elle évoque la libération, le sort fait alors aux « femmes à Boches » et la présence de l’armée anglaise. Des extraits du journal de sa jeune sœur Sophie Masquelier (1896-1989) complètent les parties lacunaires du journal de Marie Masquelier.


Convaincre, Persuader, manipuler. Rhétoriques partisanes à l'épreuve de la propagande (XVe-XVIIIe siècle)
Isaure Boitel et Yann Lignereux (dir.)

Réunissant les réflexions de plusieurs spécialistes d'histoire, d'histoire de l'art et de littérature, ce livre interroge la pertinence opératoire de la notion de propagande à l'époque moderne lorsque l'opinion publique ne constitue pas encore un acteur politique avec lequel les gouvernants composent, même s'il est de plus en plus présent dans leur horizon d'adresse. Alors qu'en Europe occidentale la diffusion des procédés d'impression bouleverse les rapports des contemporains à l'écrit, et à mesure que l'accès à l'information se généralise grâce à de nouveaux médiums (nouvelles à la main, périodiques, gravures...), les puissants réalisent que la maîtrise de leur image et la promotion de leurs actions exigent toute leur attention. En un temps où les paysages médiatiques connaissent de profondes mutations et où les logiques partisanes s'affirment comme le corollaire d'une politisation accrue des individus, il apparaît essentiel d'analyser au plus près les ressorts employés par le(s) pouvoir(s) pour susciter l'adhésion. À travers plusieurs études de cas, ce volume propose ainsi une analyse des pratiques communicationnelles à l'œuvre dans la sphère politique entre les XVe et XVIIIe siècles. Parce que la banalisation du terme « propagande » en sciences humaines nécessite de prendre du recul à l'égard d'un concept qui serait devenu « une clé générale de déchiffrement et d'explication » (O. Christin), cet ouvrage propose une réflexion nouvelle sur la fécondité heuristique de cette notion contemporaine.


Un prêtre dans la Grande Guerre, journal de Léon Cristiani
Édition établie par Michel Casta

Comment être prêtre dans la Grande Guerre ? Le 1er août 1914, Léon Cristiani (1879-1971), prêtre et professeur au grand séminaire de Moulins, est mobilisé en tant qu'infirmier dans un train sanitaire. Son journal rapporte la vie de l'équipage du train pendant les quinze premiers mois du conflit, au fil de l'évolution de la situation militaire et de la réorganisation des services sanitaires. Il rend compte également d'une perception personnelle de la guerre, marquée par de fortes convictions politiques et religieuses. Catholique intransigeant, ardent patriote et défenseur de l'Union sacrée, Léon Cristiani reste un homme de Dieu au milieu des blessés évacués vers les hôpitaux de l'arrière et parmi des fidèles dans les lieux où le train stationne. Apaiser la souffrance des corps, mais aussi soigner les âmes, accompagner les mourants, prier, prêcher... ont été son ­quotidien.

 

Conserver le vivant : Les biobanques face au défi de la médecine personnalisée

Emanuele Clarizio, Céline Chérici, Jean-Claude Dupont, Xavier Guchet et Yves-Édouard Herpe (dir.)

Les biobanques sont des infrastructures dédiées à la collecte, à la préparation et à la conservation au froid d’échantillons biologiques (sang, cellules, fragments de tumeurs, etc.) destinés à être utilisés pour la recherche biomédicale. Si les pratiques de conservation du vivant à des fins de connaissance sont très anciennes, le développement actuel de la médecine des données massives, personnalisée et de précision, rend indispensable la mise à disposition des chercheur.e.s d’échantillons biologiques standardisés et de haute qualité. Les biobanques ont ainsi acquis au cours des vingt dernières années une importance stratégique considérable. Ce livre propose d’étudier les biobanques en croisant trois perspectives : celle de l’histoire des sciences, afin de comprendre comment les biobanques, tout en s’inscrivant dans l’histoire longue des collections du vivant, s’en démarquent pourtant ; celle de l’épistémologie, afin d’analyser la fabrique des connaissances biomédicales à partir des collections biologiques ; celle enfin de la philosophie des techniques, assumant que les échantillons gagnent à être étudiés comme de véritables objets techniques. Au carrefour de ces trois perspectives, il s’agit d’examiner les enjeux éthiques du biobanking ainsi que les relations inédites qui se nouent entre le vivant et la technique dans la biomédecine contemporaine. Pour cela, les études réunies ici font la part belle aux enquêtes de terrain ainsi qu’aux analyses des professionnels des biobanques.

Guérir des traumas de la guerre. Histoire et clinique
Malika Bennabi (dir.)

Nos sociétés font face à des guerres multiformes : aux conflits internes aux états ou entre états, conflits meurtriers qui touchent de plus en plus les sociétés civiles, il faut ajouter aujourd’hui un terrorisme mondialisé aux formes de violence éruptives qui visent un accroissement de l’effet de terreur sur les personnes et sur les sociétés. Qu’elles soient totales, interétatiques, asymétriques ou civiles, les guerres sont révélatrices de ce qu’il y a de plus sombre dans l’humanité. Elles peuvent aussi, heureusement, constituer une épreuve de vérité pour tous ceux qui vont se révéler être capables de lucidité, d’engagement et d’abnégation, notamment pour réparer, soigner, réinsérer et juger. Toute guerre impacte durablement les vies psychiques et infléchit les destins, souvent sur plusieurs générations. Il faut alors que la conscience et la culture interviennent pour faire face au désordre, soigner les traumatismes, restaurer les liens sociaux et juguler les traces. Soigner les traumatismes de la guerre mobilise des savoirs précis et des actions inédites, souvent destinées à des publics jetés sur les chemins de l’exode ou dans les camps de réfugiés (mères et bébés, enfants et adolescents dont certains sont contraints de prendre part aux violences, adultes et familles toutes entières). Soigner, prévenir et reconstruire nécessitent un positionnement à l’interface de l’intime et de l’histoire collective, ainsi qu’une vision transnationale. Sans oublier de faire front à la pulsion du silence et de lutter contre les effacements mémoriels en témoignant.
Différentes disciplines se sont associées pour présenter cet ouvrage fruit d’un colloque et d’une réflexion menée dans le cadre de la revue L’autre comme l’histoire, les sciences politiques, la médecine et la psychiatrie, la psychologie, la sociologie, le travail social ou l’anthropologie… Le livre vise l’instauration d’un dialogue entre les différents points de vue, tous nécessaires pour comprendre et soigner. Ses contributions traitent des effets de la guerre à court et long terme. Les auteurs proposent des modalités pour apaiser les blessures individuelles et collectives et soigner au sens large du terme dans des contextes historiques et géographiques différents et pour tous les âges. Il est destiné à tous ceux qui professionnels et curieux sont appelée à recevoir ces personnes qui ont vécu des guerres, des conflits ou des actes terroristes en consultation, à l’école, dans les quartiers ou dans la société et aussi à ceux qui vont travailler ou vivre dans ces pays touchés par la guerre ou le terrorisme. Ils montrent comment les destins individuels sont impactés par les histoires collectives et comment les dépasser.

Le normal et le pathologique : des catégories périmées ? Textes réunis en hommage à Jean Gayon

Mathieu Arminjon, Céline Cherici & Pierre-Olivier Méthot

Dans sa thèse de médecine, soutenue en 1943, Georges Canguilhem a développé une critique de la conception scientifique et quantitative de la maladie, faisant valoir l’irréductible normativité des catégories du normal et du pathologique. Cette critique de l’objectivisme médical est étroitement liée chez Canguilhem avec une réflexion sur la normativité de la vie. Depuis 1943, le contexte de discussion a bien changé. En philosophie de la médecine, les débats ont été en grande partie structurés par l’alternative entre les conceptions naturaliste et normativiste de la santé et de la maladie, la normativité étant alors envisagée dans son aspect social et culturel, non au sens « biologique » de Canguilhem. Simultanément, la philosophie de la biologie et la philosophie de la médecine n’ont cessé de s’éloigner l’une de l’autre, une tendance lourde aujourd’hui remise en question par certains auteurs. Le style de recherche a aussi changé : l’approche « historico-épistémologique » chère à Canguilhem a perdu de son évidence, au profit d’un divorce croissant entre les travaux proprement historiques, et des études philosophiques de caractère analytique. Le contexte scientifique a aussi considérablement changé. Pour ne citer que quelques exemples, la notion épidémiologique de facteur de risque a discrédité l’idée d’une démarcation claire entre phénomènes normaux et phénomènes pathologiques ; la génétique médicale, l’immunologie, la médecine des troubles mentaux ont par ailleurs bouleversé l’explication, la nosologie et la prise en charge des pathologies. Enfin, la médicalisation croissante des sociétés contemporaines se traduit par une pathologisation d’innombrables problèmes dont la solution était traditionnellement sociale plutôt que médicale. Ce livre a pour ambition d’évaluer dans quelle mesure les catégories du normal et du pathologique ont connu une mutation et si elles sont toujours d’actualité.

Le théâtre de la boxe. Naissance d'un spectacle sportif (Paris-Londres, 1880-1930)
Sylvain Ville

Comment inventer et fabriquer un spectacle sportif ? Pratique confidentielle en 1903, la boxe, dix ans plus tard, attire des milliers de spectateurs, met en jeu des sommes d'argent colossales et présente de véritables vedettes. Comment une pratique si réprouvée en raison de sa violence devient-elle un des loisirs les plus prisés de Paris ? Le présent ouvrage entend analyser les mécanismes présidant à ce succès. Loin d'être un spectacle devenu un sport ou un sport devenu spectacle, la boxe est dès ses débuts doublement codifiée : pensée et structurée comme un sport, elle est aussi portée et mise en scène comme un spectacle, ces deux dynamiques étant indissociables. Ensemble, promoteurs de spectacles, dirigeants de fédérations, journalistes, managers et boxeurs participent à la structuration d'un marché des spectacles pugilistiques inséré dans un tissu de relations avec d'autres grandes villes européennes. À l'aube de la Première Guerre mondiale, bénéficiant de conditions économiques et sociales spécifiques, la scène parisienne s'impose progressivement comme un des foyers les plus actifs de la boxe, lui donnant la forme d'un spectacle à la fois mondain et populaire, avant de se transformer après-guerre. Comprendre l'historicité des spectacles pugilistiques revient alors à prendre au sérieux l'expression même de « spectacle sportif ».

L'avenir d'une désillusion, crise des repères identitaires. Race, sexe, genre
Céline Masson (dir.)

Les obsessions identitaires sont multiples et se répandent partout. Toutes nos identités collectives sont touchées et se dissolvent dans des revendications diverses : être femme ou homme ou non-binaire, être noir, blanc ou asiatique, être français ou européen, être juif, musulman, chrétien ou sans religion… La « race », le genre, le sexe sont des identités sans cesse troublées, questionnées, affirmées ou refusées. On dénonce ici une identité qui serait soumission à un pouvoir symbolique, là une autre identité qui serait acceptation d’un état de fait. Cette crise de nos identités, dont les causes peuvent être recherchées dans la mondialisation ou dans ce qu’autorisent les avancées scientifiques et technologiques, signifie une profonde crise de notre humanité, de notre humanisation. C’est aussi une crise de la transmission de ce que signifie être humain.
 

Henri Galli, Journal politique de la Grande Guerre 1914-1918, La IIIe République sur le vif
Édition établie par Pascal Henri-Galli et Philippe Nivet

Qui est Henri Galli ? Ancien des combats politiques de la IIIe République, journaliste, homme de gauche, patriote, populaire, élu de Paris depuis quinze ans, député en 1914, il est aussi bien témoin qu'acteur de la tragédie de 14-18. L'édition de ces deux volumes de son Journal constitue un événement éditorial car, durant cinq années, il note - à la volée mais avec une rare lucidité - tout ce qu'il observe sur des feuillets, qui, réunis ici, constituent un témoignage d'un réalisme saisissant où le lecteur trouvera, plus de cent ans plus tard, bien des interrogations hélas cruellement contemporaines.

Journal d'une grande acuité et étonnamment prémonitoire sur les conséquences politiques et diplomatiques de la Grande Guerre, ces pages sont aussi parsemées de réflexions sur la société qui en font à la fois un puissant récit historique et une méditation constante sur la condition humaine. Il ne fait aucun doute que le lecteur partagera le même sentiment que le président de la République Raymond Poincaré lorsque celui-ci écrit à son « cher député », après la parution en 1917 de son livre La guerre à Paris : « Vos récits sont pleins de vie et de couleur. Je vous félicite sincèrement de ces pages d'histoire... Vous allez me condamner au silence si mes lettres et mes conversations risquent de figurer, dans leur déshabillé, au rang de vos souvenirs... »

 

Le voyage de l'Antiquité à nos jours
Jean-Louis Podvin et Claire Soussen (dir.)

L’humanité est, par essence, en perpétuel mouvement. Amené dès la Préhistoire à se déplacer pour des raisons de survie, l’être humain s’est ensuite en grande partie sédentarisé tout en élaborant progressivement une véritable culture du voyage. On entend par « voyage » tout déplacement motivé, avec ou sans retour – à l’exclusion des déplacement forcés –, dont les hommes et femmes qui l’effectuent attendent un profit, matériel ou culturel. À ce voyage réel, il convient d’associer le voyage imaginaire, qu’il se décline dans les arts ou la littérature. Les communications réunies dans cet ouvrage concernent le voyage de l’Antiquité à nos jours, dans tout espace géographique, sur terre, sur mer, dans les airs et dans l’espace, et intègrent une dimension historique. Ce colloque tenu à Boulogne sur Mer en octobre 2020 a rassemblé les chercheurs des quatre laboratoires de la SFR « Territoires historiques » de l’Alliance A2U : HLLI (ULCO), CREHS (UA), CHSSC et TRAME (UPJV).



 

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